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Wenn der Bandleader Peter Solo seinen zeitlosen Afro-Groove destilliert und dabei 70er-Jahre-Rhythmen mit den bezaubernden Elementen von Voodoo-Ritualen mischt, entsteht eine Musik voller Trance, Ekstase und furchterregender Energie. Begleitet von seinen fünf Musikern bietet uns Peter Solo den perfekten festlichen und animierenden Cocktail zum Abschluss dieses ersten Festivaltages.

Quand Peter Solo, leader du groupe, nous distille un groove afro hors du temps et mixe des rythmiques des 70’s aux gammes envoûtantes des rituels vaudou, cela donne une musique qui invite à la transe, à l’exaltation et à l’énergie redoutable. Accompagné par ces cinq musiciens, il nous propose le parfait cocktail festif et positif pour clore cette première journée du festival.

Das Debütalbum von Dream Parade, das in Berlin am Spreeufer aufgenommen wurde, strotzt vor fruchtig-farbigem Psych-Pop und klingt wie eine Wundertüte voller sonischer Süssigkeiten. Die Band aus Vevey verziert ihre Musik mit diversen musikalischen Einflüssen aus den 60er Jahren, deren Natürlichkeit dieses Pop-Juwel zum Leuchten bringt. Dream Parade spriesst aus dem fruchtbaren Boden der lokalen Musikszene am Ufer des Genfersees und steht erst am Anfang ihrer Karriere. The sky ist the limit.

Enregistré à Berlin, sur les bords de la Spree, le premier album de Dream Parade est un délice de pop psychédélique qu’on déguste comme un bonbon acidulé. Au fil des morceaux, le groupe veveysan déploie sa musique dont on reconnaît bien quelques influences 60’s, et dont le naturel fait briller l’éclat de ce joyau pop. Né dans le terreau fertile de la scène veveysanne, Dream Parade n’en est qu’au début de sa carrière, et on se réjouit ardemment de voir la suite !

Auch wenn wir sie stets an ihrem Flair für Vintage-Sounds wiedererkennen, sind die vier Genfer von The Animen immer innovativ, unerschrocken und frech. Im Laufe ihrer fast zehnjährigen Karriere hat sich die Band als wichtiger Akteur der Rockmusik im In- und Ausland etabliert. Nach Freiburg kehren sie mit ihrem neuen Album "Same Sun / Different Light" zurück, um uns ein weiteres Mal die Grundregeln des Rock’n’Rolls zu lehren.

Si on les reconnaît à ce petit côté vintage, les quatre Genevois de The Animen ont toujours su se montrer novateurs, intrépides et effrontés. Au fil d'une carrière de bientôt dix ans, le groupe s’est imposé comme une figure majeure du rock, en Suisse et hors des frontières. C'est avec un nouvel album en poche intitulé “Same Sun / Different Light” et charpenté avec le producteur de Feu! Chatterton ou La Femme, qu'ils débarquent, pied au plancher et guitare à la main.

Von zartem Klagen bis hin zu berauschenden Balladen tanzt Kevin Morby fröhlich umher, ohne dabei unkontrolliert auszuscheren. Dies ist die bevorzugte Gangart dieser Galionsfigur der Indie-Rock-Szene. Mit einer Vita, die ihn von Texas nach Missouri und Los Angeles führte, liess sich Kevin Morby von diversen Orten inspirieren - von den grossen Ebenen, den pulsierenden Städten, oder auch der Religion. Das Resultat der musikalischen Verarbeitung dieser Einflüsse findet sich auf Kevin Morbys fünftem Album "Oh My God" wieder, das aus obgenannten Erfahrungen seine charakteristische sprudelnde Energie generiert.

De complaintes délicates en ballades entêtantes, Kevin Morby cavalcade allègrement. Mais sans galoper. C'est le pas de sénateur que préconise le chanteur, songwriter et chef de file de la scène indie rock. Né au Texas, élevé dans le Missouri, il a embrassé Los Angeles, puisé son inspiration dans bien d'autres villes qui l'ont fasciné, dans les grandes plaines et dans la religion. C'est d’ailleurs en elle qu “Oh My God”, le cinquième album de Kevin Morby, puise le bouillonnement qui le caractérise.

Bunkr ist das Geräusch, welches der Kopf macht, wenn er versehentlich mit einer Glasscheibe in Berührung kommt. Oder eine 40-Tonnen-schwere Schallkanone, die Mauern zum Bersten bringt. Das ehemalige Duo aus La-Chaux-de-Fonds ist zu einem Quartett gewachsen und hat damit die Klangkapazität nochmals erhöht. "Schluss", der Titel ihres ersten Albums, kündigt nicht das Ende an, sondern den Beginn des Soges, in den sie uns hineinziehen. Obacht, denn das könnte ein ziemlich wilder Ritt werden!

Bunkr, c’est le bruit que fait votre tête lorsqu’elle rentre malencontreusement en contact avec une vitre. Ou un 40 tonnes sonique lancé à vive allure. Dans tous les cas, ça tape. Comme la musique de ce duo chaux-de-fonniers, devenu quartet pour pouvoir jouer aux cartes en toute tranquillité, et augmenter un peu la capacité sonore de l’ensemble. “Schluss”, le titre de leur premier album, n’annonce pas la fin des haricots, mais plutôt le début du maelstrom dans lequel ils nous emportent. Remontez bien vos bretelles, ça risque de secouer un peu.